.O.
Comme j'ai l'impression que cela s'enclenche -(quoi ? Ma vie)- je cède mes Idoles,
mais sans leur dire,
je les efface,
parce qu'elles étaient fades, rouillées et grinçantes.
Me faisaient grincer moi-même.
Je les jette au puits,
et puis, je ne dis rien.
Je sens que cela se déclenche, c'est imperceptible.
J'attends mieux (ça, c'est fichtrement commun!)
Alors l'air de rien, juste comme si ceci n'avait jamais été
quasi obsessionnel .
Je sens qu'elle se délitent, les idoles, elles perdrent leur majuscule, et restent béatement de jolies coquilles qui auront ignoré de l'introduction à l'épilogue.
J'efface en gardant un fil, juste sous la paume, ou au creux d'un pli de phalange, pour un jour faire revenir les pantins . Ou retourner.
C'est toujours l'inévitable qui me lasse.